Les masques FFP peuvent être équipés ou non d’une valve (appelée aussi « soupape »).
La valve s’ouvre quand on expire, ce qui facilite l’expiration. Cela rend le masque plus confortable, surtout quand on a naturellement du mal à respirer ou pour les travailleurs en situation d’efforts (sur les chantiers par exemple). Les masques FFP3 étant généralement plus épais (pour mieux filtrer), ils sont souvent équipés d’une valve pour faciliter la respiration.
La valve se referme quand on inspire, l’air ne peut alors que passer à travers le matériau filtrant du masque.
A noter : quand un masque est équipé d’une valve, celui qui le porte est protégé contre les poussières et les aérosols mais des aérosols peuvent sortir de l’air que l’on expire par la valve ouverte, on ne protège donc pas complètement les personnes autour de soi quand on porte un masque avec valve. C’est notamment pour cette raison qu’il est recommandé que toutes les personnes portent un masque quand elles sont dans la même pièce, le même local ou le même véhicule en période épidémique (grippe H1N1, coronavirus COVID-19, …).
La présence d’une valve sur un masque apporte un confort pour ceux qui se sentent oppressés au niveau de leur respiration quand ils portent un masque. L’inconvénient de la valve est que l’air expiré (celui qui ressort de notre bouche ou des narines) n’est pas complètement filtré et des aérosols peuvent donc se répandre dans la pièce : un masque FFP2 avec valve permet donc de se protéger efficacement mais pas de protéger les autres.
En conclusion, sur l’exemple d’un masque FFP2 :
– si un masque FFP2 est utilisé en contexte d’épidémie, il est clairement préférable de choisir un masque sans valve.
– si un masque FFP2est utilisé hors contexte d’épidémie, il est généralement recommandé de choisir un masque avec valve, car il apporte davantage de confort de respiration.
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